la saison scie cire Sie hatte es vergessen Sir l'assaisonnée

mercredi, janvier 10

Mercredi






Ton dos nu. Ta main à ma portée. Tes yeux et le regard sans détour. L'envie et le manque persistent jusqu'à la fin que nous n'écrivons pas. Et je t'aime et je t'aime sans fin parce que nous ne l'écrivons pas. Dans l'ivresse et la chaleur de la nuit j'essaie de perdre ton visage de ma vue. Je détourne le mien et tu le rattrapes.

Tu as la platrée de l'univers sous ton poêle.
Vos courbes en tangente par la bouche qui déchire déjante déchaine, votre couple
vos coups de grâce.

3 commentaires:

braillements a dit…

les points s'arrachent
enfin s'accrochent plutot
et soutard , rassurent.
ils sont juste le début des choses . Ils sont juste le début des choses
parfois pareilles . Mais butiner,
ou alors encors dans la sève qui repart . trier
Bein dis donc comme la vague, on the road again

ca dépend dit tout de rien, mort surement pas.

A la peau rare on se fait toujours une réponse,

plus simplement il y a Lolita, vous et notre toit . Aparté qu'on est tous pareils


Il faudrait dire du début, donc voilà :
sans beurre et croisé ne compte pas :
sois déterrée et ne pleure pas (même si c'est pire)


Traum à reine

Anonyme a dit…

C'est très beau chez vous... Très triste aussi.

P.M a dit…

suprise de voir une image de m.Sedan ici...