la saison scie cire Sie hatte es vergessen Sir l'assaisonnée

mardi, juin 27

Contrebas de hautbois

En contrebasse de la brune le vent criait à l'angle mort .
Et les cheveux tout harassés des tours de boucles artificiels
semblaient complètement indolores.
un long filet de plainte à lui distant des solitudes
frémissait contre la pierre à sec. La pierre défoncée
aux dogs martins aux projection de la chimie
de l'homme à l'eau, de l'eau aux quais. Elle était là contre la grille
ce bout de peaux soudées, cette anoblie.

Je remontais heureuse (des yeux)
son instrument broché. Son cheveu boost et luisant
qui grince contre la force de l'air. Cette plaintive, un fruit. Jusqu'aux
éclats noirs en symétrie. Dans l'explosion pleine de son visage, la vulve au centre. gonflée Descend le rouge
du trou des seins de la robe. Assez béat pour que l'on voit les jambes détaler.
C'est un régal, non c'est un étalage oui. Les souliers noirs à la renverse comme les sourcils de brise.

Le vent qui renverse la coiffure, la chaussure glisse sans les chevilles,
et la robe puise à l'encontre du ventre plat, ce qu'il n'y a plus.
Ce qu'il n'y aura peut-être pas. Du coffre
c'est un amas sans voyage, elle n'a pas de tige
à prendre du haut en bas on dirait que c'est l'histoire du visage qui n'existe pas ou le contraire.

En gris sommet de la couleur des alentours, du dos aux grilles
ça se contente de rester là et de se faire toucher le trou en même temps la pilosité. En contre haut je vous regarde,
les parapluies peuvent coudre leur grésillement au-devant vous
sept hommes qui ne se méprennent pas à vous perdre la vie, la femme la main perchée dans votre poitrine - à juste titre à ajuster
Mais la vie rejoint le pont, à grimper le verre tangue le flot plus loin.

Il s'arrache à cette scène, c'est lui la vie. Je répète qu'il pourrait se tenir sous des caméras, il est assez ivrogne et bouclé. Mais lui c'est la réalité, et il en rit. Ça lui prend si fort que la mer brune tourne coincée
dans sa bouteille, de l'autre main en veilleuse sous le cul de celle-là. Il pousse vers sa bouche l'effluve d'un jour autre. Les cheveux dressés comme des roseaux
la robe qui se plie, la dress qui ne casse pas. Adipeux il ajoute sa crasse à mes contours du haut du pont, nous souhaitons donner
la mort à ce collage rouge. Dans la verdure, dans la Seine qui brasse.

Le sourire qui danse, il en continue. pas à plaire des libres, le soulève
ailleurs. La beauté est toujours là, en bas. La frise qui décuple de la plainte lâchée
et les sept hommes rivés
qui ne voient que la fosse.