la saison scie cire Sie hatte es vergessen Sir l'assaisonnée

mercredi, avril 26

Tu plisses









Sur les visages qui s'affolaient en défilé. A plat des vitres en plexiglas, déroute.
Couleurs prîment air en condition il m'a prit. Selon le court mais trash.

In a row on a sugar,
c'est pas certain.

Les sucres décolorés ne le sont en rien et puis(s)ant. Graines dine
fruit/ de n'y frise aucune pousse. Glucoses en vracs brunes ont l'obligeance
de la pénombre du pays d'où ils tiennent.

La main démarque selon le cisaillement désuet
dé Braques
Serre

mardi, avril 25

Estampe

Sortir d’aise en creux des mains. Lore y dépose son frais de folie. C’est pas tout le temps ceux là la liberté,
Ecorce dis lui que tu l’as su.
J’ai pris le sabre de guerre d’antan Ottoman, Emile Zola dans la maternelle de mon grand père y mettait les vertus symboliques de son enfance. Un sacre pour effleurer sa courbe, une consécration pour le soupeser.
C’est vrai, dis lui que tu saurais, quand les tapis étaient déroulés.
Les murs de voix à pic au récit des sourates sont autant d’ondes fondues que l’amour de tes iris, proue à la cascade d’Iguaçu. Les hommes savent leurs étreintes avec le ciel.
Ne te baigne pas dans la cire de son brasier.
Que tu saurais couler les fenêtres.

Fusée sur bern(ab)é
Ils sont saouls. Terre à clés des robes la
Trappe coup de
Point.
D’aise en drame Lisy et Larre, ensembles bavent.

Les frênes doucement s’esclaffent, c’est vrai, ils ont mieux sué
Que ce que les rapides sèvent. Sans s’empêtrer pourtant, ils auraient pu le rire.

[voix off, jaune et granuleux]
Le tanné en soutanes prends les fourmis de ses jambes, à part des choses. Il s’agit de plier son arc de chaire et de rejoindre lésé. Poire tu aurais du savoir. [\]


Il est noueux, la chaîne rejoint tes odeurs de poudre. Loch se ferme aux hiboux, et saute en joues blanches. Et Lidya perle des bricoles sagement,
Deux fois scindée de la linéarité de son corps, par les forts membres forgés de sa chaise. Je passe de son collier brique qui roule sur les os, aux remues des bêtes droguées qu’on amène. Prêtent à centrer l’arrière cour de dalles, du sacrifice en joie. La chèvre pleure.
Je ne pouvais pas sortir la main de ta poche, quand j’ai vu
Dans les oreilles de la petite Cubaine ornée que l’arrosoir balayait sang vergogne.






















* Lorelei
Eluard
forêt
guerre d'Algérie
déménagement
pierres de mosquée que je n'ai jamais connus
chutes du sud du Brésil
Rezé
Flore / et toutes sortes de romans films humains
forêt
conduite
marche d'église blâfarde Cuba et l'homme cigale
forêt
bande dessiné révolutionnaire et marche d'Egypte
écosse
Zola
En haut du dédale, en bas de la ville, remerciements aux Dieux Cuba

lundi, avril 24

Fraichsque



Les mots s'accouplent nécrophiles - qu'elle trace toujours à grands pas bottés.

De but en blanc, les pairs aux sols, nos triques et clarté déposés sur les graves, Rions !

Les bruits âpres et traîne
à grisaille
rejettés
et mili mettrent

les nuits sont pleines de retournements

Tu as un sommeil profond, non tu as le profond visage du soleil de l'angoisse.


mercredi, avril 19

Voir Estordo il me montrerait les pavés des dalles, le béton pas sec.

à Cuba
à regarder les fumées de cigales,
en hêtre à feuille qui tombent vaquent.
Rumine
Que tu te prennes des tartes aux fraises dans la figure.

Secourons nous du mouvement douillet et horlogique des bruissements d'algues
en vague.
à larme





lundi, avril 17

Vitriol bleuté et moi violette




Joaquin est le seul enfant de la famille Phoenix à ne pas porter un nom en relation avec la nature comme ses aînés River et Rain, ainsi que sa cadette Summer.

dimanche, avril 16

Jack's son, Jaunit cache

L'impatience brode les saoûls
bresauts de gloire. Prends le tunnel de ma manche et perds y tes lumières.

Rue Bréa ce soir. Digne je te le dis



- Are you tired honey ?
Yes
- It will slow down I promise.

Quand on a cette houpette des pôles, et qu'on ressemble à un furibond en frénésie de pétrole . Tu sais les furies qui creusent, tournée vers le ciel




Quand on a cette houpette des pôles, et qu'on ressemble à un furibond en frénésie de pétrole . Tu sais les furies qui creusent, tournée vers le ciel

jeudi, avril 13

Lick his ticket

C'est le surimi super
pendiculaire. Prisme vous êtes errance des argiles incertaines.
et ce n'est pas fini et ce n'est pas sain Magnifie les charognes
en cuire de Neuvers Serep oser montrer ta foi. en lui et ce n'est
pas rien non plus. L'élan aux grandes serres frontales lutte
contre l'uni et l'arrière paire du peuple. Les bottes à chair
dépravée émane en haineuse à mouton des soleils et l'addition
est fourbe, Sèvres. Ciel prenez en seigneur des noeuds de notre
corps dans le cursus de l'esprit. En prosternation à dénouer les
cordes de nos êtres entravées de lumière bande son. D'amour
dâme erre des rides à part; ilôts à rive maternelle. Antar à
tique (cisaille le long des peaux). Les monsters sont de sortie
c'est le Spuck et bonne nuit.

jeudi, avril 6

Putain la mort ©kNda

Cours le coucher du sol commence, le plafond se montre
j'ai des cernes jusqu'aux bas
viens dme défoncer le doigt de pied sur une patte de chaise à bar
il va te remerciant de ton embrassade Ca saute en ce moment
des walkmans partout sous nos pieds
on est des cédés antiguos
-- au moins
durables
-- tu crois ?
au comecom, ils s'île croivent . je crois qu'on est tous dures pleins de dents plantés
-- sans doute, ezila
par les autres à mor cephales en grammes, qui vacillent au bas
-- pourquoi ezila, tu me dis ?
je te dirais dans les yeux, c'est le type de choses, et non (le type à la station shell) qui n'ont absolument aucun intéret
mais un garçon dirait * c chou elle est incohérente
j'invence . j'avance j'invente .

mardi, avril 4

jetez les les



Il crie enfoncez plus vos bêches dans la terre vous autres et vous
chantez jouez
il attrape le fer à sa ceinture il le brandit ses yeux sont bleus
enfoncez plus vos bêches vous autres et vous jouez encore pour qu'on
danse

Lait noir de l'aube nous te buvons la nuit
te buvons à midi et le matin nous te buvons le soir
nous buvons et buvons
Un homme habite la maison Margarete tes cheveux d'or
tes cheveux cendre Sulamith il joue avec les serpents

Il crie jouez plus douce la mort la mort est un maître d'Allemagne
il crie plus sombres les archets et votre fumée montera vers le ciel
vous aurez votre tombe alors dans les nuages on n'y est pas serré

Lait noir de l'aube nous te buvons la nuit
te buvons à midi la mort est un maître d'Allemagne
nous te buvons le soir et le matin nous buvons et buvons
la mort est un maître d'Allemagne son oeil est bleu
il te tire une balle de plomb il ne te manque pas
un homme habite la maison Margarete tes cheveux d'or
il lance ses grands chiens sur nous il nous offre une tombe dans le ciel
il joue avec les serpents et rêve
la mort est un maître d'Allemagne

Margarete tes cheveux d'or
tes cheveux cendre Sulamith

© Paul Celan

lundi, avril 3

l'ini vitation au voyage


englobe à courir sur les roux des voisins paraffine. Jean frédéric hirsute le regard réparateur, nous avoue de la régate en breton et sirènes. Affluence de moutons automobiles, des rejets liquides en pique papilles, ceux d'un monde mère de l'anéanti. Font grandir les rejetons, que les végétaux soupirent de l'eau de . l'au de là et ici , n'est pas en contre bas . Des neiges avalées par les dames rouges, font les basses aux sonnets d'escaliers cendres. Riez en boîtes, des jupes en cartons à mêtres de cantonnades.
Au sortir du pays, les rayons pêchent des embrunts de sillons. Des huits coins d'aubaine, la cabane s'isole en emprunt d'arménie. Qui soit dite en passant, entichée clos leurs membres nantis. Aube soupoudre d'évasion les membranes jointures, les retraits d'intégrités, les coudes
et les toitures décident de reprendre le cours des circonvolutions. Tandis que les chevilles tournent aux as, la moto s'extasie en sol pleuré. j'ai la feuille souple, et la ramification à débit de masse
contre la barrière du jardin. Estéban, les points de Mélanie nient son visage, timide du cheveu, voit de sa mezzanine et son arrière pensée. Une autre s'écraser. Aubade