la saison scie cire Sie hatte es vergessen Sir l'assaisonnée

samedi, mai 27

Eaurore


***Tu as la fascination facile
Tu as la dépendance leste













C’est seulement une question de mesure. Je suis peut-être dans l’excès, mais ce n’est qu’en
apparence je pense
Que mon seul rythme, quand je ne chante et ne conduis pas mon souffle dans un hautbois
C’est d’offrir le débit équilibré aux choses. Sans ça je me perds, c’est ça
C’est peut-être aussi une question de contrôle, aux façons de tenir les mains
Emprise des évènements. Par extension de mes sentiments.
Sinon la saturation, s’obstine. Elle freine la grise des regards des penchants
Des châles à droite et des destinations qui se croisent. Et la tristesse
Il faut se ressourcer à l’essence, laquelle pourtant. Quand on en vient au rien
En vide d’estomac, il faut venir qu’on vive. Alors que si les marées sables
S’ébrouent comme Martin le pécheur ou les marins prêcheurs, si les vagues
Arment décorent scellent en grand bruissements fumeux , Elle se détache
L’écorce , en le vent pousse la vérité d’un vilain nuage.

La rage couve
En petits pas.