la saison scie cire Sie hatte es vergessen Sir l'assaisonnée

mercredi, mai 31

C'était pour hier, scellait en deux jours


sinon je devalerais la colline les nuques dessous dedans. A contrecarrer la détente, jusqu'à m'éparpiller dans un champs


Pour ma part plus je déteste la distance plus elle s'installe dans mes draps. J'ai meme décidée, peut être pour faire les choses entières, de dormir dans la chambre a côté de la mienne.

mardi, mai 30

Assurément

take me take me take me take me take me
sur les monts azurs et menthe

Qu'ils sont froids



lundi, mai 29

pshaaaaaaaaaaa

aaaaaaaaaaahsp

La Schoenheit die Belleza


Nouvelle :
- Première annonce d’un événement arrivé depuis peu. Répandre une nouvelle.
- Renseignements sur la santé, la situation etc. de quelqu’un que l’on connaît. Donner de ses nouvelles.
- Informations sur les événements du monde diffusés par les médias
- Récit bref qui présente une intrigue simple où n’interviennent que peu de personnages.


« Le cinéma est un merveilleux cri déguisé » cf citation d’une inconnue

Le si né m’a étain vermeilleux mensongé. Aurait pu être aussi la citation d’une inconnue, mais non, c’est bien « le cinéma est un merveilleux cri déguisé ». Pourquoi ?
Parce que moi, oui je, l’inconnue donne des nouvelles du cinéma.

First inkling The triplettes of Belleville, are not the one you thought they were. Of course, they eat the frogs that they fish, yes, but that isn’t the point. Oh , pardon j’ai oublié de me mettre en VO. C’est vrai que maintenant la mode vacille vers l’authenticité. Donc, excusez mon français, mais je ferai un effort. Vous pensiez que les triplettes de Belleville vivaient derrière l’océan que l’on voit quand on se penche sur la pointe de la Bretagne. Qu’il était assez d’une traversée en ferry pour les retrouver. Mais vous avez tout faux, parce que les triplettes de Belleville de New York n’ont rien à faire avec la pomme, les triplettes de Belleville pêchent (curieusement il faut le dire) dans la ville de Belleville. Déjà d’ici je vois les regards étonnés et les sourcils froncés. On ne vous a pas informé sur l’ampleur du quartier de Belleville pris dans la casserole cosmopolite parisienne. Nous (et j’entends ici de nombreux professionnels qualifiés) avons relevé de tels chiffres qu’il est absolument indéniable d’avouer la situation actuelle. Ces chiffes, je ne vais pas vous alourdir avec, je pense que vous avez déjà assez d’une vie pour analyser vos propres numéros embêtants (dettes, perdants de loto et autres complications), je les prends ainsi à ma charge. C’est pour cela qu’avec toute la confiance que vous avez raison de m’accorder, il est de mon devoir de vous annoncer sûrement irrévocablement que Paris s’appellera Belleville à partir des quelques semaines à venir. Vous vivez donc un événement décisif dans l’avenir économique de la France Quelles répercussions pour Paris la perte de son nom « chic » ? Et pour le pays, les citoyens seront-ils tous désorientés ? Attendez vous à un freinage des consommations, qui sait si les populations ne se réfugieront pas dans des fortins de la seconde guerre mondiale par peur d’actes révolutionnaires bellevillois…
Tout cela restant de l’avenir frais bien mystérieux, et assez peu cinématographique, revenons-en à nos crapules, euh crapauds pardon. La question qui se mêle à toutes les salives sera belle est bien : Avons nous, au moins, des triplettes à la hauteur des new yorkaises ? Alors, je ne vous garantis pas le World Trade Center, mais en tout cas, j’ai découvert une vérité de la longueur d’une canne à pêche.
Celle-ci m’ayant soutiré un chapeau melon orange alors que j’inspirais ma paresse sur un quai des quais de la Seine. Qui aurait pu confondre un chapeau d’un poisson ? – me suis-je bien demandé. La réponse m’a littéralement et littérairement sautée aux yeux puisque, de torpeur, je sursautais comme une torpille alors qu’un visqueux objet mou boutonneux s’était enclavé entre mes brins de pailles capillaires restant, comme une enclume. Délicat à croire, mais à la seconde qui suivait, je vous n’omet pas avoir été absolument certaine de l’origine de cette bévue. Et de cette bave aussi par la même occasion.
Le doute était levé, les triplettes étaient là, à portée de main ou plutôt de pêche à la ligne.
Celui-ci m’aida presque volontairement dans mes méditations, bien au chaud dans un bocal en verre. Le stratagème maintes fois calculé pour révéler la présence des triplettes, me parut à point lorsque le quadrupède se tourna en rond dans l’enclos fermé. J’y compris deux choses, les espèces s’accordent avec leur environnement, et cette chose deviendrait poisson rouge ; le cercle vaseux porte bien son nom.
Malheureusement, je n’eu pas besoin d’utiliser mon stratagème, puisque les Triplettes ne mirent pas longtemps à se pâmer devant la presse. Avec leurs flairs de byznesswymen elles ont presque anticipé Belleville en même temps que moi et qui résiste à leur charme musical à l’aspirateur, au journal et au réfrigérateur ? Le reste, vous le connaissez donc. Mais vous ne connaissiez pas la nouvelle. La nouvelle c’est que mon crapaud n’est pas devenu rouge. Mais mon crapaud ; c’est la quatrième.
Et le cinéma trouve de l’attrait pour la nouvelle : A quand les quadruples de Belleville à Paris ?

La suite dans l’inkling numéro deux (Qui sera nouvelle quand elle existera)



Combat baby

Cy j'y étais tout juste, je suis

il hait
nous sommes
vous n'êtes pas nettes
ils sonrisa


, ne commence pas à penser que je ne vois que l’immuable. Vous m’avez donné le goût de la découverte, j’ai besoin de l’humain. Je ne sais pas exactement ce que ça sera. Peut être que oui je vivrais loin sous les brousses et sur l’humanitaire. Peut être qu’autrement

l'hybride la paix le ballet d'âme toutes les perles vivaces en repos qui tanguent
suisse que tu fais de moi.


*pure(t)é

samedi, mai 27

Eaurore


***Tu as la fascination facile
Tu as la dépendance leste













C’est seulement une question de mesure. Je suis peut-être dans l’excès, mais ce n’est qu’en
apparence je pense
Que mon seul rythme, quand je ne chante et ne conduis pas mon souffle dans un hautbois
C’est d’offrir le débit équilibré aux choses. Sans ça je me perds, c’est ça
C’est peut-être aussi une question de contrôle, aux façons de tenir les mains
Emprise des évènements. Par extension de mes sentiments.
Sinon la saturation, s’obstine. Elle freine la grise des regards des penchants
Des châles à droite et des destinations qui se croisent. Et la tristesse
Il faut se ressourcer à l’essence, laquelle pourtant. Quand on en vient au rien
En vide d’estomac, il faut venir qu’on vive. Alors que si les marées sables
S’ébrouent comme Martin le pécheur ou les marins prêcheurs, si les vagues
Arment décorent scellent en grand bruissements fumeux , Elle se détache
L’écorce , en le vent pousse la vérité d’un vilain nuage.

La rage couve
En petits pas.

mardi, mai 23

Les stries capillaires



Abraham : le coton et la rivière, c'est une histoire d'amour ?
dis lui qu'on est à l'abris de rien

C'est une fleur d'oranger cet Abraham.



les sels sucent, les celsius c'est ce que je reconnaissais de la mer, petite. d'ailleurs je renais là


la mer et son tumulte y'en a que ça effraie, je suis heureuse de le savoir


Pour l'instant il n'y a pâture ni moult'remou

et tu comptes faire comment coûte que coûte ? Les liquides fluides . ca se rapproche de l'amer
ca ne restera pas asymptote à vie.

lundi, mai 22

Elle s'ébat avec la porte dans le coup qui part












Ce n'est pas toujours que les jours s'enfuient. C'est presqu'un séjour, ... ... ....... les cuivres tanguent.
La force d'aterrissage d'une ombrelle sur les brins de tes épaules. Tu te rèves
rince
toi dans mes bras. Tu cours à point je te pèse les pas des phrases la moue de tes lèvres magnifiques.
Saute et presse embrase les corps du bois.
Certes et les fraises brûlent les jambes en brise contre le jean de tes pores, pour ratifier l'émail. Dire que ça te perce
et dur que ça l'émince.


Je n'attendais rien de plus des doigts. Tes airs dans ma voix leur empreinte d'espace. Tu chantes en parlant le monde est jaloux














mercredi, mai 17

Mouche à beurre

n'est pas commode
(ni dans le tiroir)





Entre l'arbre et l'écorce, dans la pelure de sa robe, sous son zest.
dans le creux de sa nappe ou la plaine s'allonge

J'ai beau tresser la lumière
je ne sais pas
déplier le temps

je ne sais pas
atteindre la fraîcheur des coeurs à ciel ouvert.

lundi, mai 15

Poussin presse toi

Vous avez cette odeur sous la peau et les fars appropriés.
Ce n'est pas de si longtemps que vous perdiez l’immaculé émail
Sur les bords de l’ancre. J’étais la paix vous étiez mon brouillon.
Elle est là je vous armais comme toute brise.

Ca s’entend alors, le fil qui passe sous la robe de nos routes.
L’arme se jette sur la mère,
Hélas ça n’est pas l’heure






vendredi, mai 12

Sang d'os





On ne les introduit pas..

Zib Zib Zibeline
ça sonne comme une fée fermeture éclaire, une libellule filante aux ailes métalliques

par un long et systématique; moustique déraisonne tous les sens.

parce que je me demande où tu es.

L'abbat, très loin.

oui très. Je suis dans un sublime Lac Finlandais
je peux venir te repêcher ? Ca dépend de ton courage et de sa profondeur
Je ne nage pas si bien mais je suis une tête de mule. Peut être que tes oreilles deviendront nageoires
oui peut t'hêtre.

Tu peux me faire une estimation de sa profondeur ? de quelques mois de confusion
Il est comment dis moi ce lac. Je te dis, c'est un lac soft et féminin.
Mais s'il est sublime, restes-y, non ? Oui peut t'hêtre

il ne me semble pas hostile ce lac est ce que ce n'est pas en fait une baignoire plutôt confortable ? Pas sûre qu'il y ait un quelconque intérêt à tenter de s'en extraire, si ? Une sorte d'interêt vital même.

vendredi, mai 5

Frémisses
























Tu me ceintures de gauche façon.



Sans le silence des pointes souples
Miel dit prends tes argiles à tes pieds et vendre



Il ne dîne rien, part à Dax.
J'ammène ton sein à mon ovide quand la voiture se cambre.



La cime sous l'ère des crimes, terre toi.
L'or rend sordide émoi fui, le carrosse ri à ses gonds.



Malaine répand "drôle de Venise"
Guêpres cisaillent en le talon

Aux tords lourds les bourdons prechent l'assaut des flammes

Tout ce qui a jonché les cris des années souples enduit minutes.
Brun d'attache les mots des râpes.

Pattes en croix
drame de peinture
save âge d'or
léans à brise
vague à larme Tu me mangue

Brecht ihre Lampen schönen Wetter, dass ihr auch allen nüchtern wird.





Les inquiets réciproques volent de tirs enfants. Braquer la relance d'hûme et prime vers.

mardi, mai 2

Paris pari que je t'acquitte



Des choses me dépassent et les autres me transpercent. 



Les veines s'immondiscent et comme c'est dur d'imaginer les esprits sous, les doux mouvements et de ne pouvoir les atteindre ou les attendre assez longtemps. Haïr autant la façon de s'émouvoir, mais en vert et contre tout; la force et la nature. Etre quand même mal grés. Y [grésille] tout n'est pas peu.
Vouloir être si universel, ingénieux, ce rein solide surtout. Tirer un trait sur les doutes ne pas savoir ce qu'on admire. Et puiser, qu'est ce que ca serait d'être un génie. A prendre surement [sûre y mi], und comment le savent ils Ces chiens ?
Où se pe(n)ser ?

Est ce que les cor(p)s(e) s'éteignent en douceur [ma(r)quis] ? Arrive-t-elles des morts simples dans des corps sains et des esprits mains. Le débit du physique qui pousse.


ne pas assurer les réceptions d'égoï



Je trouvais Oscar dos, l'escargot, l'escabeau, l'espace Roh

lundi, mai 1

Ivrev

Quand elle conduit c'est comme sur un bateau. Ses pensées tanguent d'un bord à l'autre de son navire, et celui ci s'enfonce par des mouvements scandés et se rabat pris de fièvre contre les trottoirs.




Marche Marc marquis. La marque est portée dans la marche
d'un marquis et le languissement de la vie agit sur.
Sur ; dessus ou en dessous. Je ; parce que en dessous de quelque
chose. Mars les choses n'existent pas. Enfin si quesque
je dis. On dit les choses sans qu'elles existent. Ongles
rouges avec bracelets roses. Tiraillent la peau en
patte d'araignée qui s'étire et s'enlace au pourtour
d'un pilier. D'un pilier de la vie ou celui d'une
table. Et s'est en s'attablant que l'on peut la
manger. Autant vivre en haut de trois pommes
si ce n'est pas pour la croquer. Dans le fond d'un
pépin on ne risque rien à part se casser un bout
de dent. Les pépins sont des coquilles et les jonquilles
sont des duvets pour deux poussins.

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