la saison scie cire Sie hatte es vergessen Sir l'assaisonnée
lundi, mai 22
Elle s'ébat avec la porte dans le coup qui part
Ce n'est pas toujours que les jours s'enfuient. C'est presqu'un séjour, ... ... ....... les cuivres tanguent.
La force d'aterrissage d'une ombrelle sur les brins de tes épaules. Tu te rèves
rince
toi dans mes bras. Tu cours à point je te pèse les pas des phrases la moue de tes lèvres magnifiques.
Saute et presse embrase les corps du bois.
Certes et les fraises brûlent les jambes en brise contre le jean de tes pores, pour ratifier l'émail. Dire que ça te perce
et dur que ça l'émince.
Je n'attendais rien de plus des doigts. Tes airs dans ma voix leur empreinte d'espace. Tu chantes en parlant le monde est jaloux
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