la saison scie cire Sie hatte es vergessen Sir l'assaisonnée

mardi, janvier 30

tu as le coeur capricieux mais l'on se connaitra toujours
le mien chavire, sauf dans la souplesse des rivières

blabla

L’évolution arrange les choses, pas le temps j’ai compris. Et bien sûr j’ai compris, je suis plus enthousiaste maintenant, ça n’a aucun sens. Il doit être une heure du soir et bien sûr, demain à la même heure ça ne voudra rien dire. Il n’y a pas aucune raison de copier coller les jours. C’est incroyable comme je comprends avec plus de force ce que tu m’écrivais. Et la théorie que tu ne peux même pas voir du coin de l’œil, tu as raison. Il faut peut être la prendre doucement comme elle est et elle voudra nous faire évoluer, peut être que ça dépend de notre degrés d’ouverture. Mais personne ne peut l’avoir ou savoir. (par contre pas rectiligne ? pas circulaire ? pour toi ?) Il faut lui faire confiance à la nature (confiance et solitude). Elle ne meurt pas. Tu n’y penses pas les animaux les plantes aussi naissent vivent meurent. Mais peut être que les hommes comme la nature ne meurent pas.

soir

Sertie d'immeubles drôles,
de certificats de plaisance.


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Prêter les heures à la patience,
Bien sûr, tu ne ramasses pas les mondes
à mes pieds. J'aurais du éviter de montrer
ma peur. Est ce que tu as confiance ?

Est ce qu'on l'aura encor si on tremble trop
Tout vibrant tout doux notre amour, intenable.
(...)

Le sommeil
où tu te projettes. je trouve ça plus
merveilleux de parler de ça
j'ai envie d'avoir envie.

. . .

Viens, dis toi que c'est fou.
J'ai quelque chose à te raconter .
Et encore les choses passent comme cela en ce moment, et c'est vrai.
Je vais me faire résister
il n'y a rien de beau à partager de ça, Ce sont les instants
filles qui reviennent. Non c''est faux,
mais ça serait tellement plus simple de pouvoir
raconter ce qui n'existe pas. Alors tu attendras