la saison scie cire Sie hatte es vergessen Sir l'assaisonnée

mardi, janvier 16

I'm lost but i'm not stranded yet

Cette fois ci, il ne faudra pas compter sur eux. Ce n’est pas la peine que les mots (pan !) soulèvent l’or ramage. Obwohl, wie weich ihr seid, mein Strom mon essence (le mot vermeille).
Les beaux paons alors ont le cou tordu, c’est faux archi nauséabond leur prétendue suffisance.
Dehors j’attends infiniment que les usines montent aux cieux, alors qu’ici et là tu me stipules comme enragée l’altitude de nos terres. Notre tombe de l’amour viendra grise, grisée que je balance une main entre ton ventre.
Mais tout ça, vous ne comprenez pas, est aux fers de la solitude, j’ai le profil plongé d’un vers en déplacement, et moi seule. D’ailleurs ça serait bien : jamais là et joignable, pour me passer la laisse aux coups durs, en fuite. Ne cherche pas dans quelle facette, le verre réfléchit et au pire il court toujours. Blasés des multitudes, Ah c’est si drôle
Dit comme cela les boissons dans les pieds les haines les gorges, c’est drôle mais est ce suffisant ?

Suffisant de berner tout le monde pour goûter à tous en chaussons polis éternellement oubliés pour des millions de princes.
Contre les brûlures je tais toi,
Pourtant, écoute c’est un gâchis de diluer la belle parole, ma douce.

Arrêtez. Arrêtez vos jeux, vos histoires, vos suicides.

Maintenant comme attendu, toujours d’ici sur la ville, je me souviens. J’ai laissé des poudres d’enfant résignée dans la traînée de l’ascenseur cette nuit.



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