la saison scie cire Sie hatte es vergessen Sir l'assaisonnée

lundi, décembre 4

The birds

Où Lakanal se perchait au dessus du mur,
pour ne pas perdre à savoir que j'étais vivante
j'y tendais le cou fripé c'était l'aube chaude.

Tu nous avais réveillés en trop
et c'est seulement quand on a pu entendre que les escaliers de l'internat
ne résonnaient pas ; l'ordre du retour.

Déjà prendre ton embryon
à tours de hanches et décimer les minutes
à battre les invectives de tes affiches de propagande communiste denses.
Pour si peu de maîtres ronds
boursouflés de mêtres carrés.

Pour choix, la construction de l'intelligence de la chambre.
Je savais qu'une partie du dialogue se lisait sous la table,
encore que proie à ton immobilité je ne ne pouvais que
choisir de le savoir ou d'y penser.

Certains jours je venais en bordure des deux verbes,
celui ci où j'ai pu prolonger le voyage
au bout de la nuit les pieds dans la poussière
Pour pause qu'avaient les éléments préparés.
Ou j'ai suivi aussi la dissection du temps
et de ses principes sur l'espace, de son visage.

Or, jetée mêlée pressé la seconde compression
et lumière de vie. En toi et alors
je ne sais plus très bien si tu t'es égaré;
lorsque tu m'as mise neutre sous forme allongée.

Même que pour couper aux sens ton impression. Face au bas
et sans râle, pourtant l'oxygénation presqu'entremêlée comme le tissu des draps
Tu me balançais le corps de façon à déposer ton épiderme autour.

Diable, j'étais prise. Mais debout et dehors
je souhaitais que tu rêves

Entourée de tes fresques soudaines, par la force de ton corps, je tenais de mon poing à ce que tu ne m'aimes pas.

et puis tu n'as pas vu le visage j'ai ravalé.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

C'est amusant.
Tes 3 premières strophes tiennent du génie.
L'ineffable.
Et puis coupe la virgule comme une herbe tranchée la pelouse bien tondue cultivée, oui c'est ça.
Un morceau de bois sculpté, tu vois?
Après la virgule tes mots tiennent de l'homme.
Comme si tu avais.
Pensé.
Coupé la pensée.

L'homme et le divin ne se mélange pas.
L'un est tyran.
l'autre est menteur.

Tes mots restent tes mots et je vois oui qu'ils veulent avancer.
Alors avance.
Ta plume reste belle.
Soulève-la.

(la plume de l'oiseau)