la saison scie cire Sie hatte es vergessen Sir l'assaisonnée

lundi, août 7

des confiances

Entre autre sur le lit d'herbe qui poussait les passants
tout emplie de sa boue du ciel et de la mienne.
Impromptu tuez là,

Enmêle nos jours entrelacs
pores porcelaine tu savais, comme cette première vapeur
tout s'échappe surtout nous
tandis que la vie s'envole. De là narguez les pommes.
Métaux massés grâce à toi.

.
Mais thomas excellait aux cours des consciences

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Je vous découvre,quelle magnifique fraîcheur, je serais assidu.

Retromance a dit…

ça va te sembler dégoulinant de sentimentalisme mais
tes mots m'ont manqué
on s'y perd joyeusement, ou peut être un peu moins mais le compte y est

braillements a dit…

miche à fran

ecoutez je me brosse les cils , cela vous fait du vent ?

et ta gnôle

le conte des hautbois et de leurs évantrails.

. merci tellement tout plein à tous