la saison scie cire Sie hatte es vergessen Sir l'assaisonnée

dimanche, juin 11

Love à faire

Si les hommes sont compliqués
les femmes ne sont pas plus simples

Elle me disait que j'aime poser ma tête au creux de son cou
pas le coude mais ta nuque, celle qui pavoine
le dessus de la jointure des deux bras est une escapade rêche.
je couds le creux du coin Celui sans ombre et imparfait
sel lui l'horizon et la ligne qui tranche. C'est le cil qui taille
moi l'air, pour que ma molaire broie la graine. C'est tout rien que ça
je sais que ça n'existe pas. Ce qu'on invente, et pourtant
j'aimerais bien y voir vos défenses d'enfants. A l'amordage

Pourquoi ne peux t-on (petit peton) pas chausser les perles
comme on dit, les bons aux coudes aux épaules aux genoux pourquoi pas
comme des abris chairs. Comme pour se protéger du rollerblade, enfiler
ses brillots bonheur. Le taux toujours à point, le capital au poil.
Intact à bocal, une penalty dans les revers de manche et la joie dans la poche.
On y est, un souffle et tu revis celui là parcelle de si
si l'impératrice l'avait v(oul)u, me faire choper à te désirer par les plus hautes
instances. Qu'elle connerie la société l'économie tout ça à rouler sur le bac à
sable. Des âneries à fou aux hochets la tête sur les phalanges qui se lavent.
Qu'elles bétisent, qu'elles apprivoisent les crises en thèmes,
non ça n'est rien que du feu, cette vie à préparer la vie est là
prenez et mangez que si c'est cuit à poing ferme.
je clos la coulissante, je coule la fumante méninge gîte au bain, à poil
il ne manquait plus qu'un câble sorte. Les celsius ne se taisent pas de sitôt .
tétard





2 commentaires:

Retromance a dit…

conquise

braillements a dit…

pas(con)crète