Sel suce

la saison scie cire Sie hatte es vergessen Sir l'assaisonnée

mercredi, janvier 31

Carnet de voyage






J'écrase dans mes doigts la poussière qui fait notre périmètre.
Au final les limites sont un trouble, halos de gloire, cercles dilués de la pierre qui se jette dans l'eau. Et nous on se jette avec la pierre, nous météore et nos épaves vives (particules d'herbe) : les graines de vie, le nuage de la météore.

                       - pause changement de musique-
"Bruit" - vrombrissement, c'est la mue permanente de notre peau crevassée. C'est le changement de dispersion de nos cratères en fonction des chocs et ralentis.

              °°des fresques ensoleillées sur le partage de nos visages°° ( la lune est belle dans tes yeux ce soir mon amour)
"Bruit" METEORE DIRECTION TERRE

        - Toujours plus profond, la friche humaine crispe nos mollets. Ici il ne fait pas droit et rouillé,
il ne fait même pas froid et mouillé. Il rayonne et aspire, l'univers. Je t'envie tu vis tu le vois respirer ce gentil monstre luisant. Toi, de plus en plus proche de plus en plus profond. (de l'essence)

               Et alors ? (on reprend) nos territoires en mouvance, leur trace.

J'aimerais vous dire que dans ce parcours, rien ne nous appartient. Dans tous les autres non plus , rien ne nous appartient
              sauf nos bijoux et nos pas.